Nous avons croisé récemment Camille, une jeune factrice en tournée, qui a bien voulu nous donner son témoignage sur l’exercice de sa profession au quotidien ;
« Le vélo électrique. Ah, quelle belle invention pour les facteurs ! Exerçant la profession le temps de l'été, je savoure les progrès de la technologie depuis quelques semaines. Ma tournée : Désertines et ses multiples côtes. Bien que je sois jeune, le sport est loin d'être mon fort, et autant vous dire que j'étais quelque peu effrayée à l'idée de devoir franchir ces montées interminables. Je m'imaginais déjà poussant le vélo jaune tant bien que mal, lourd de ses sacoches pleines de courrier, sous le soleil tapant du mois d'août. Et à mon grand étonnement, il n'en est rien ! Que mes sacoches soient pleines ou vides, et je vous assure que la différence est notable, je monte les côtes sans effort, un vrai bonheur pour moi.
Et entre chaque boite aux lettres, hop, un petit coup de pédale et je suis à la suivante.
Les kilomètres défilent sans que je m'en rende compte. Quel gain de temps ! Et du temps, nous savons tous à quel point c'est précieux.
Si je pense que le vélo électrique est le transport de demain ? Oui, oui, oui et encore oui. D'autant que le poids d'un vélo normal doit être largement inférieur à celui avec lequel je roule aujourd'hui, je n'imagine pas à quel point on doit se sentir léger sur le plat ou dans les côtes. Je rêve d'en posséder un en tant que particulier dans la mesure où mes trajets personnels sont pour la plupart sur de courtes distances. Comme je l'ai évoqué précédemment, Montluçon et son agglomération possèdent de nombreuses côtes que je ne peux faire avec un vélo normal. Et la question du poids sur le vélo, lorsque je voudrais faire les courses par exemple, ne se pose plus non plus.
Le système est également très simple d'utilisation. La selle du vélo se bascule et je n'ai plus qu'à glisser la batterie ou à l'enlever pour la recharger. Le temps de batterie disponible est également excellent : je roule environ 4h par intermittences chaque matin, et la charge est quasiment encore pleine à la fin de ma tournée.
A l'inverse d'une mobylette ou de n'importe quel engin à moteur, je ne provoque pas non plus de pollution sonore. Je vais vite, et en silence !
En bref, une petite révolution dans le monde du transport journalier qui, je pense, doit maintenant être démocratisée ! »
Camille, 22 ans
« Le vélo électrique. Ah, quelle belle invention pour les facteurs ! Exerçant la profession le temps de l'été, je savoure les progrès de la technologie depuis quelques semaines. Ma tournée : Désertines et ses multiples côtes. Bien que je sois jeune, le sport est loin d'être mon fort, et autant vous dire que j'étais quelque peu effrayée à l'idée de devoir franchir ces montées interminables. Je m'imaginais déjà poussant le vélo jaune tant bien que mal, lourd de ses sacoches pleines de courrier, sous le soleil tapant du mois d'août. Et à mon grand étonnement, il n'en est rien ! Que mes sacoches soient pleines ou vides, et je vous assure que la différence est notable, je monte les côtes sans effort, un vrai bonheur pour moi.
Et entre chaque boite aux lettres, hop, un petit coup de pédale et je suis à la suivante.
Les kilomètres défilent sans que je m'en rende compte. Quel gain de temps ! Et du temps, nous savons tous à quel point c'est précieux.
Si je pense que le vélo électrique est le transport de demain ? Oui, oui, oui et encore oui. D'autant que le poids d'un vélo normal doit être largement inférieur à celui avec lequel je roule aujourd'hui, je n'imagine pas à quel point on doit se sentir léger sur le plat ou dans les côtes. Je rêve d'en posséder un en tant que particulier dans la mesure où mes trajets personnels sont pour la plupart sur de courtes distances. Comme je l'ai évoqué précédemment, Montluçon et son agglomération possèdent de nombreuses côtes que je ne peux faire avec un vélo normal. Et la question du poids sur le vélo, lorsque je voudrais faire les courses par exemple, ne se pose plus non plus.
Le système est également très simple d'utilisation. La selle du vélo se bascule et je n'ai plus qu'à glisser la batterie ou à l'enlever pour la recharger. Le temps de batterie disponible est également excellent : je roule environ 4h par intermittences chaque matin, et la charge est quasiment encore pleine à la fin de ma tournée.
A l'inverse d'une mobylette ou de n'importe quel engin à moteur, je ne provoque pas non plus de pollution sonore. Je vais vite, et en silence !
En bref, une petite révolution dans le monde du transport journalier qui, je pense, doit maintenant être démocratisée ! »
Camille, 22 ans